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mai 18, 2021
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Aujourd’hui, chez SANNA, on a décidé de vous en apprendre plus sur la crème solaire, un élément indispensable de toute routine de soins pour la peau. En effet, bien qu’il soit difficile de résister à la tentation de vouloir bronzer plus vite, une protection solaire est un outil essentiel pour se prémunir contre les effets néfastes des rayons ultraviolets ( UV ). On vous propose donc de découvrir les choses les plus importantes à savoir sur la crème solaire.
Les UVA représentent environ 95 % des rayons ultraviolets qui atteignent la planète Terre. Ce sont des rayons puissants contre lesquels il faut se protéger car ils peuvent pénétrer la peau même à travers les fenêtres. Bien que les UVA réveillent la mélanine de notre corps, le pigment biologique responsable de la couleur de notre peau, de nos cheveux et de nos yeux, nous permettant ainsi de bronzer, ils forment également des radicaux libres (fragment obtenu par la division d’une molécule), qui affectent la structure de notre peau, provoquant un vieillissement prématuré de celle-ci. Ces rayons peuvent également être responsables de cancers de la peau.
Les UVB représentent environ 5% des rayons ultraviolets qui atteignent notre planète, et même s’ils affectent notre peau plus superficiellement, ils sont plus dangereux que les UVA. Bien qu’ils permettent à notre organisme de conserver la vitamine D, ils sont responsables de la formation de coups de soleil. Ils peuvent également, comme les UVA, être responsables de cancers de la peau. C’est pourquoi il est essentiel de trouver une crème solaire à large spectre qui protège à la fois des UVA et des UVB.
Le SPF est une mesure du niveau de protection contre les UVB et détermine donc le niveau de protection contre les UVB offert par une crème solaire. On considère que le nombre inscrit à côté de l’intitulé SPF correspond au nombre de temps qu’il vous faudra pour ‘brûler” au soleil.
Ainsi, si cela vous prend 10 min avant d’avoir un coup de soleil, avec une crème solaire SPF 15 cela vous prendra maintenant 150 minutes (soit 10×15). Une crème solaire SPF 15 ne suffit pas pour une protection optimale car elle n’atteint que 94% des rayons tandis qu’une protection SPF 50 atteint 98% de protection.
Attention, une protection au-dessus de 50 peut être dangereuse car cela vous donnera un faux sentiment de sécurité qui pourrait vous conduire à vous exposer trop longtemps et donc être dommageable. Les protections solaires sont regroupées en 4 niveaux de SPF : Faible (de 6 à 10), Moyenne (de 15 à 25), Haute (de 30 à 50) et Très Haute (50+).
Bien qu’il n’existe pas de réglementation internationale sur les crèmes solaires et leurs compositions, la recommandation de la Commission du 22 septembre 2006 relative à la protection solaire et aux allégations des fabricants quant à leur efficacité impose que toute crème solaire protège contre les deux types de rayons ultraviolets UVB et UVA.
Les crèmes solaires sont en général soit chimiques soit minéraux. Le point de différenciation intervient surtout dans la façon dont elle protège des rayons ultraviolets.
Les crèmes solaires chimiques pénètrent dans la peau, puis absorbent les rayons UV, convertissent les rayons en chaleur et les libèrent du corps. Les ingrédients actifs des écrans solaires chimiques comprennent l’azobenzène, octinoxate et l’oxybenzone.
Tandis que les crèmes solaires réalisées à partir de minéraux, elles, en revanche, n’atteignent pas l’épiderme mais réfléchissent les rayons uv à la place de la peau comme un écran et permettent de diffuser la lumière visible. Pour autant, elles laissent un effet blanc sur la peau, peu agréable et esthétique bien, qu’elles soient tres efficaces au niveau de la protection.
L’état d’Hawaii vient d’ailleurs d’interdire toutes les crèmes solaires contenant de l’oxybenzone et de l’octinoxate, car ils entraînent des décolorations et des déformations conduisant à la mort du corail. Ces deux substances ont également été retrouvées à des niveaux alarmants par des chercheurs dans des poissons, des algues et des coquillages. De plus absorbés par notre organisme, ces produits chimiques pourraient être de puissants perturbateurs endocriniens.
L’étape suivante de l’initiation aux crèmes solaires consiste à comprendre les différentes tailles de particules qui composent notre protection solaire. Pour faire simple, les microparticules sont le choix le plus favorable, car les nanoparticules sont si incroyablement petites qu’il a été démontré qu’elles sont nuisibles aux récifs coralliens. Le zinc nanoparticulaire (écran solaire minéral) peut être dangereux pour les récifs car l’irradiation solaire peut provoquer le développement de peroxyde d’hydrogène, qui est toxique pour la vie marine.
Les microparticules sont suffisamment grosses pour ne pas nuire de la même manière aux écosystèmes marins. Comme elles sont environ 1000 fois plus grosses que les nanoparticules, elles ne représentent pas non plus un danger pour la santé car elles ne traversent pas la barrière cutanée et ne peuvent donc pas atteindre nos cellules. Recherchez des crèmes solaires portant la mention “non nanoparticulaire”.
Chez Sanna, nous mettons un point d’honneur à honorer et à respecter notre santé et celle de notre planète. Nous avons donc sélectionné deux crèmes solaires qui sont sures pour vous et pour l’environnement.
Crème solaire pour le corps SPF30 de chez Madara, 19.00€
Crème solaire anti-âge SPF30 de chez Madara, 29.00€
Crème de jour teintée SPF 30, disponible en 3 teintes, de chez Sun & Earth, 21.00€
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